Une mère célibataire de 48 ans confrontée à l’Alzheimer précoce : son témoignage bouleversant sur les premiers signes
Tout bascule lorsqu’elle perd soudainement ses repères devant son écran d’ordinateur. Rebecca Luna, mère active et organisée, se retrouve plongée dans un combat imprévu contre la maladie, marqué par des trous de mémoire et une confusion grandissante.
Un diagnostic inattendu avant 50 ans
Quand on parle d’Alzheimer, on imagine spontanément des personnes âgées. Mais cette maladie neurodégénérative peut surprendre bien plus tôt, dès la quarantaine. Cette **variante précoce**, bien que rare, bouleverse complètement la vie des patients.
Rebecca en sait quelque chose. * »J’essaie de maintenir un quotidien ordinaire, tout en sachant que la progression est inéluctable »*, confie-t-elle sur sa **page de crowdfunding**.
Quand les trous de mémoire deviennent alarmants
Au début, elle mettait ses absences sur le compte du surmenage. Après tout, qui n’a jamais égaré ses clés ? Mais ce jour-là, son esprit est resté complètement vide. * »Comme si quelqu’un avait appuyé sur le bouton ‘reset’ de ma mémoire »*, décrit-elle avec émotion.
Les signaux d’alerte se sont accumulés : le plat brûlé sur la plaque allumée, la promenade qui aurait pu mal tourner. * »J’ai compris que je ne pouvais plus me faire confiance »*, reconnaît-elle simplement.
Un témoignage courageux contre les idées reçues
Face à la progression implacable de la maladie, Rebecca partage son parcours sur **Instagram** avec une honnêteté touchante. Son objectif ? Changer le regard sur cette pathologie souvent méconnue chez les jeunes adultes.
Elle se mobilise également pour sécuriser son autonomie financière grâce à une **cagnotte solidaire**, cruciale pour l’avenir de sa famille.
Son message d’espoir : « L’empathie avant tout »
Ce qu’elle souhaite par-dessus tout ? De la chaleur humaine. * »Un simple geste affectueux m’apporte plus de réconfort que tous les discours »*, murmure-t-elle.
Parfois, le silence bienveillant parle plus fort que les mots.
